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La célébration du jour des morts

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Modificado: 3 de febreiro de 2009, 12:56 PM   Usuario: Laura Pena 2BACC  → LP

"Wiki" dos membros de francés. A poñerse a traballar:

La Toussaint


La Toussaint, c'est la (fête de) tous (les) saints.

Toussaint, la fête des saints:

La Toussaint est une fête catholique, en l'honneur de tous les saints du panthéon catholique, et non une fête chrétienne. Les protestants ne fêtent pas la Toussaint : ils sont allergiques aux saints ! ils ont ce terme en horreur, par réaction contre le catholicisme, qu'il s'agisse des Saint Pierre, Paul ou Jacques, de la Sainte Vierge ou du Saint Père, ou encore de la sainte croix, le saint suaire et autres saintes reliques...

Au IVe siècle, l'église grecque décide de fêter les martyrs chrétiens. à l'origine, les premiers saints, après les apôtres, étaient des martyrs, morts pour leur foi. Cette fête est célébrée le premier dimanche après la Pentecôte dans l'église orthodoxe.

Au VIIe siècle, l'église catholique fait du Panthéon de Rome une église dédiée à Sainte-Marie des martyrs. Ainsi, au culte des divinités romaines se substitue le culte des saints catholiques. C'est à cette occasion que la fête de la Toussaint est instituée. à l'origine, elle est célébrée en mai. On l'a ensuite déplacée au 1er novembre. Pour des raisons pratiques, selon Jacques de Voragine (voir ci-dessous).

Le 1er novembre, c'est aussi le jour de l'an celte et s'oppose au 1er mai.

La Toussaint, c'est la fête des saints et non la fête des morts ! Celle-ci a lieu le 2 novembre. Cependant, parce que la Toussaint est un jour férié, il est plus facile de se rendre au cimetière ce jour-là !


L'origine de la Toussaint selon Jacques de Voragine:
Jacques de Voragine (en latin Jacobus de Varagine) est originaire de Varazze, en Ligurie (sur la côte, à 50 km à l'ouest de Gênes). Il est archevêque de Gênes. Il écrit au XIIIe siècle la Légende dorée (en latin Legenda aurea). Ce livre raconte la vie des saints illustres et connaît un grand succès pendant le Moyen Âge. Il regorge de miracles et de faits surnaturels tel qu'on pouvait le concevoir à cette époque : le Moyen Âge baigne dans le merveilleux...


LA TOUSSAINT
(1er novembre)

La fête de la Toussaint a été instituée pour quatre objets :
en premier lieu, pour commémorer la consécration d'un temple,
en second lieu pour suppléer à des omissions;
en troisième lieu pour expier nos négligences,
en quatrième lieu pour nous faciliter l'accomplissement de nos vœux.


LE JOUR DES AMES
(2 novembre)

L'Eglise a institué, en ce jour, la commémoration des fidèles défunts, afin d'accorder un bénéfice général de prières à ceux, parmi ces défunts, qui n'en possèdent point de particuliers. Cette fête a été instituée à la suite de la vision racontée au chapitre précédent. Pierre Damien raconte aussi que saint Odilon, abbé de Cluny, apprenant que l'on entendait souvent sortir de l'Etna les hurlements des démons et les voix plaintives d'âmes défuntes qui demandaient à être arrachées de leurs mains par des aumônes et des prières, décida que, dans les monastères de son ordre, la fête de la Toussaint serait suivie de la commémoration des âmes défuntes ; et cette décision fut ensuite approuvée par l'Eglise entière.

moi ben xacobe, fixeches un bo traballo. :)

Noraboa!

                                         TRADUCCION texto 1:

 Día de todos los santos, la fiesta de los santos El Día de todos los santos es una fiesta católica, en honor de todos los santos del panteón católico, y no una fiesta cristiana. Los protestantes no celebran el Día de todos los santos: ¡ son alérgicos a los santos! Se horrorizan de este término(plazo), por reacción contra el catolicismo, para que se trate Santo Pierre, Pablo o Santiago, de Virgin Saintísima o del Santo Padre, o todavía de la cruz santa, el santo sudario y otras reliquias santas... 
En el siglo IV, la iglesia griega decide celebrar a los mártires cristianos. Al principio, los primeros santos, después de los apóstoles, eran unos mártires, muertos para su fe. Esta fiesta es celebrada el primer domingo después del Pentecostes en la iglesia ortodoxa.

En el siglo VII, la iglesia católica hace el Panteón de Roma una iglesia dedicada a Santa-María de los mártires. Así, en el culto de las divinidades romanas se sustituye el culto de los católicos santos. Es en la ocasión que la fiesta del Día de todos los santos es instituida. Al principio, es celebrada en mayo. Luego lo(la) desplazamos en el 1 de noviembre. Por razones prácticas, según Santiago de Voragine (ver más abajo).

El 1 de noviembre, es también el día de año nuevo celta y se opone al 1 de mayo. 

¡ El Día de todos los santos, es la fiesta de los santos y no la fiesta de los muertos! Ésta se efectua el 2 de noviembre. ¡ Sin embargo, porque el Día de todos los santos es un día feriado, es más fácil ir(rendirse) en el cementerio aquel día!

El origen del Día de todos los santos según Santiago de Voragine:
Santiago de Voragine (en latino Jacobus de Varagine) es originario de Varazze, en Liguria (sobre la costa, a 50 km al oeste de Génova). Es arzobispo de Génova. Escribe en el siglo XIII la Leyenda dorada (en latino Legenda aurea). Este libro cuenta la vida de los santos ilustres y conoce un gran éxito durante la Edad media. Rebosa milagros y hechos sobrenaturales tal, que se podía concebirlo en aquella época: la Edad media está inmerso en lo maravilloso... 

 EL DÍA DE TODOS LOS SANTOS (1 de noviembre) 
La fiesta del Día de todos los santos ha sido instituida para cuatro objetos:
En primer lugar, para conmemorar la consagración de un templo, en segundo lugar para suplir a omisiones;
En el tercer lugar para expiar nuestros descuidos, en el cuarto lugar para facilitarnos el cumplimiento de nuestros votos.


EL DÍA DE LAS almas (2 de noviembre) 

La Iglesia instituyó, en este día, la conmemoración de los difuntos fieles, con el fin de concederles un beneficio general de oraciones a los, entre estos difuntos, que no lo poseen en absoluto individuos. Esta fiesta ha sido instituida en consecuencia de la visión contada al capítulo precedente. Pierre Damien cuenta también que santo Odilon, abad de Cluny, sabiendo que se pensaba sacar a menudo de Etna los aullidos de los demonios y las voces lastimeras de almas difuntas que pedían ser arrancadas(sacadas) de sus manos por limosnas y oraciones, decidió que, en los monasterios de su orden, la fiesta del Día de todos los santos sería seguida por la conmemoración de las almas difuntas; y esta decisión luego fue aprobada por la Iglesia entera.

TEXTO 3:

La Toussaint est une fête chréti+enne, dont l'Église catholique a fixé la date au premier novembre en 835. Depuis, chaque année, la Toussaint célèbre Dieu et tous ses saints martyrs. Le choix de la date n'est pas innocent, l'Eglise Catholique encore jeune cherchait ainsi à évincer la fête païenne célébrée ce jour-là. Le premier novembre était en effet l'une des quatre grandes fêtes des nations païennes du nord de l'Europe, la Saint-Sylvestre celtique, le dernier jour de l'année, suivi du jour de l'an : Samhain. Les Irlandais émigrés en masse aux États-Unis lors de la grande famine du milieu du XIXème siècle, ont apporté avec eux leurs légendes, et en Amérique, Samhain est devenu Halloween. . Selon les Celtes, cette nuit du premier novembre qui enterrait l'année voyait revenir les esprits et autres fantômes pour hanter les maisons des vivants. Ceux-ci plaçaient une petite lumière à l'abri dans un navet devant leur porte, ainsi que des aliments, pour chasser les revenants. Le navet est devenu citrouille en Amérique du Nord où Halloween est fêté par petits et grands depuis longtempsLa mode est arrivée en Europe où la Toussaint, devenue Halloween pour les plus jeunes malgré qu'Halloween se déroule en fait la veille, s'écarte de plus en plus de la religion. Désormais, les citrouilles rivalisent chaque année avec les chrysanthèmes dans les grands magasins la dernière semaine d'octobre. Il faut préciser que la Toussaint est une fête catholique, en l'honneur de tous les saints du panthéon catholique, et n'est pas reconnue par l'ensemble du christianisme.Les protestants ne fêtent pas la Toussaint car ils ne reconnaissent pas l'autorité de la croix, du saint suaire ainsi que la Vierge Marie ou du Saint Père. La Toussaint, célébrée dès les origines de l'Église Catholique, est donc une fête qui rend hommage avant tout à ses martyrs. Cette fête religieuse fut créée au début du VIIème siècle par le pape Boniface IV, qui dédia le Panthéon de Rome à la Vierge Marie et à tous les saints martyrs. Rome était devenue chrétienne et il était temps d'effacer les traces des anciens dieux. Le pape Boniface, quatrième souverain pontife, débarrassa le temple de toutes ses idoles, et, le 3 mai de l'année 605, le consacra à la Vierge Marie et à tous les martyrs, le rebaptisant du nom de Sainte-Marie aux Martyrs. La Toussaint fut alors fixée au 13 mai, jusqu'en 835, date à laquelle le pape Grégoire IV instaura la date du premier novembre pour sa célébration afin d'appliquer la politique ecclésiastique de l'époque.  Plus prosaïquement, la date correspondait également à la fin des vendanges et les moissons. Les fidèles, libérés de leurs travaux, pouvaient venir en foule pour célébrer les saints martyrs et trouvaient plus facilement à se nourrir. 
Au XIème siècle, on fit suivre la Toussaint du jour des morts, jour de commémoration de tous les fidèles défunts. L'origine de la Toussaint vient également d'un archevêque de Gênes, Jacques de Voragine, à qui l'on doit la « Légende dorée » au XIIIème siècle.

traduccion:

El Día de todos los santos es una fiesta cristiana, cuya iglesia católica fijó la fecha en el primero de noviembre en 835. Después, cada año, el Día de todos los santos celebra a Dios y todos sus mártires santos. La elección de la fecha no es inocente, la Iglesia Católica todavía joven procuraba así eliminar la fiesta pagana celebrada aquel día. El primero de noviembre era en efecto el uno de cuatro grandes fiestas de las naciones paganas del norte de Europa, el Día de Nochevieja céltico, el último día del año, seguido por el día de año nuevo: Samhain. Los irlandeses emigrados en masa en los Estados Unidos en el momento de la gran hambre del medio del siglo XIX, aportaron con ellos sus leyendas, y a América, Samhain se hizo Halloween..Según los celtas, esta noche del primero de noviembre que enterraba el año veía volver los espíritus y otros fantasmas para frecuentar las casas de las vivientes. Éstos colocaban una pequeña luz al abrigo en un nabo delante de su puerta, así como alimentos, para cazar(echar) los resucitados. El nabo se hizo calabaza en América del Norte dónde Halloween es celebrado por pequeños y grandes desde hace tiempo.  La moda llegó a Europa dónde el Día de todos los santos, hecho Halloween para los más jóvenes a pesar de que Halloween se celebre de hecho la víspera, se aparta cada vez más de la religión. En lo sucesivo, las calabazas rivalizan cada año con los crisantemos en las grandes tiendas la última semana de octubre. Hay que precisar que el Día de todos los santos es una fiesta católica, en honor de todos los santos del panteón católico, y no es reconocido por el conjunto del cristianismo. Los protestantes no celebran el Día de todos los santos porque no reconocen la autoridad de la cruz, del santo sudario así como la Virgen María o del Santo Padre. El Día de todos los santos, celebrado desde los orígenes de la Iglesia Católica, es pues una fiesta que rinde homenaje ante todo a sus mártires. Esta fiesta religiosa fue creada al principio del siglo VII por el papa Boniface IV, que le dedicó el Panteón de Roma a la Virgen María y a todos mártires santos. Roma se había vuelto cristiana y ya era hora de borrar los rastros de los antiguos dioses. El papa Boniface, el cuarto sumo pontífice, quitó(liberó) el templo de todos sus ídolos, y, el 3 de mayo del año 605, se lo dedicó a la Virgen María y a todos mártires, rebautizándole del nombre de Santa-María a los Mártires. El Día de todos los santos entonces fue fijado sobre el 13 de mayo, hasta 835, data a cuál el papa Gregorio IV instauró la fecha del primero de noviembre para su celebración con el fin de aplicar la política eclesiástica de la época.  Más prosaicamente, la fecha también correspondía al fin de las vendimias y las cosechas. Los fieles, libertados de sus trabajos, podían venir en muchedumbre para celebrar a los mártires santos y encontraban más fácilmente para alimentarse. En el siglo XI, hicimos seguir el Día de todos los santos de día de los muertos, día de conmemoración de todos los difuntos fieles. El origen del Día de todos los santos también viene de un arzobispo de Génova, Santiago de Voragine, a quien se debe la " Leyenda dorada " en el siglo XIII.

Dia de todos los santos:

Le Jour de Tous Les Saints(Fêtes) est une solennité chrétienne instituée dans honneur de Tous les Saints(Fêtes), de connaissances et d'inconnus, selon le papa Urbano IV, pour compenser n'importe quel manque aux fêtes des saints(fêtes) pendant l'année de la part des fidèles.

Dans les pays de tradition catholique, il est célébré le 1 novembre; alors que dans l'Église Orthodoxe il est célébré premier dimanche après la Pentecôte; bien qu'aussi les Églises Anglicanes et Luthériennes la célèbrent. Dans elle venera à tous les saints(fêtes) qui n'ont pas de propre fête dans le calendrier liturgique. Par tradition c'est un jour férié non ouvrable.
L'Église Primitive habituait célébrer l'anniversaire de la mort d'un martyr dans le lieu du martyre. Fréquemment les groupes de martyrs mouraient le même jour, ce qui a naturellement conduit à une célébration commune. Dans la persécution de Diocleciano le nombre de martyrs sont arrivés à être si grand que l'on ne pouvait pas séparer un jour pour la lui(leur) assigner. Mais l'Église, en sentant que chaque martyr devrait être venerado, moi remarque un jour dans commun pour tous. Le premier échantillon de cela remonte à Antioche dans le Dimanche avant la Pentecôte.

Aussi il est mentionné d'un jour dans commun dans un sermon d'Efrén Syrien Sain dans 373.Cette veille(vigile), a résulté cependant, coïncider(se rencontrer) avec la célébration païenne de Samhain le 31 octobre, maintenant Halloween dénommé (le nom(nombre) qui provient de la phrase "All hallow's Eve" o la "Veille de Tous les Saints(Fêtes)" entre l'anglo-saxon) qui marquait la fin de l'année celte. Dans cette date il était célébré entre les anciens(antiques), l'ouverture dimensionnelle entre le monde tangible et le monde des ténèbres. Et qu'il(elle) n'a pas à voir de la fête chrétienne de Tous les Saints(Fêtes).

traduccion:

El Día de Todos Los Santos es una solemnidad cristiana instituida en honor de Todos los Santos, conocidos y desconocidos, según el papa Urbano IV, para compensar cualquier falta a las fiestas de los santos durante el año por parte de los fieles.

En los países de tradición católica, se celebra el 1 de noviembre; mientras que en la Iglesia Ortodoxa se celebra el primer domingo después de Pentecostés; aunque también la celebran las Iglesias Anglicana y Luterana. En ella se venera a todos los santos que no tienen una fiesta propia en el calendario litúrgico. Por tradición es un día feriado no laborable.La Iglesia Primitiva acostumbraba celebrar el aniversario de la muerte de un mártir en el lugar del martirio. Frecuentemente los grupos de mártires morían el mismo día, lo cual condujo naturalmente a una celebración común. En la persecución de Diocleciano el número de mártires llego a ser tan grande que no se podía separar un día para asignársela. Pero la Iglesia, sintiendo que cada mártir debería ser venerado, señalo un día en común para todos. La primera muestra de ello se remonta a Antioquia en el Domingo antes de Pentecostés.

También se menciona lo de un día en común en un sermón de San Efrén el Sirio en 373. Esta vigilia, resultó sin embargo, coincidir con la celebración pagana de Samhain el 31 de octubre, ahora llamado Halloween (nombre que proviene de la frase "All hallow's Eve" o "Víspera de Todos los Santos" entre los anglosajones), que marcaba el final del año celta. En esta fecha se celebraba entre los antiguos, la apertura dimensional entre el mundo tangible y el mundo de las tinieblas. Y que no tiene que ver con la fiesta cristiana de Todos los Santos.

texto:

La fête des morts est un rituel pratiqué dans de nombreuses cultures et religions, qui consacrent souvent un ou plusieurs jours fériés à la commémoration des défunts.

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traducción:
La fiesta de los muertos es un ritual practicado en numerosas culturas y religiones, que a menudo dedican uno o varios días feriados a la conmemoración de los difuntos.
Texto:

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">En cuántos gobiernos(cuidados) de la casa parisinos, por ejemplo, pide Huges Le Roux, el diálogo siguiente no se compromete, por la mañana del 3 de noviembre, entre Señora y la cocinera:

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">" ¿ Pues bien, María, usted hizo una buena compra?

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">- ¡ Oh! ¡ Sí, Señora, usted puede decirlo, un buen marcado! No traje ningún pescado

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">- ¿ Cómo ningún pez?

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">- No podemos conseguirlo. Las pescaderas dicen que esto ocurre  cada año el 3 de noviembre... A causa de la " ráfaga de viento de los muertos ".

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">- ¿ La ráfaga de viento de los muertos?... "

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">

 

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt"> La Señora queda boquiabierta. Es sin embargo su cocinera quien tiene razón. Usted puede tomar el tren, aquel día, para cualquier playa de Mancha, de Océano o del Mediterráneo: de Dunkerque a la desembocadura de Bidassoa y del cabo Cerbero a Barbilla, usted no verá una vela de pescador sobre el mar. Delante de la iglesia, sobre las estacadas, dentro de los cabarets o dentro de uno de estos Refugios del Marinero fundados por Sr. de Thézac y quienes les prestan tantos servicios a nuestras poblaciones marítimas, los hombres sentados, la pipa a los dientes, su gorro de lana sobre la oreja, las botas  y el traje de marinero.

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">

 

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">No se fían de la calma momentánea que sigue la tempestad. Saben a qué cogerse sobre estos invitas del flujo. Si cedan allí, no tardarían en volver el ancho estas teorías de ahogados entre las que habla el poeta, “pálidos, un cirio al puño, la frente en cogullas”, que giran alrededor de las barcas reclamando la sepultura de una voz lamentable. Dos veces en el año, el 2 de noviembre y 25 de diciembre, al Día de los muertos y a la Navidad, los espíritus emergen del abismo y van en  procesión hacia las ciudades engullidas por el litoral, este Tolente o este Ys maravilloso que golpeó la cólera divina. Las catedrales inmensas, a las cimbras(perchas) luminosas, chispean(brillan) bajo las aguas. Ys sólo contaba con treinta.

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">

 

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">El ruido de las campanas que se oye(se entiende) el ancho por la noche del 1r al 2 de noviembre viene de estas iglesias submarinas donde ofician, delante del pueblo de los ahogados, los " obispos del mar ". ¡ Prelados singulares, entre paréntesis, mitrados, chapés y mitrados, pero cuya grupa se dobla en la cola de pez! Una leyenda quiere que sean nombrados a la guardia de la una de tres trajes(ropas) de santa Verónica, la misma ropa blanca donde se imprimió, sobre el camino del calvario, la cara augusta del Cristo y cuyo velo conservado en Vaticano sería sólo una réplica...

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">¿ Esto es para conmemorar la memoria de estas infortunadas víctimas del mar y devolver la llamada a las vivientes cuánto pesan poco en la mano de la Eterna? Lo cierto es que al principio de Siglo XX todavía, sobre el litoral bretón particularmente en la isla de Pecho, vigilante de los Muertos prestaba a un uso singular: el tro ann anaoun o " torre(vuelta) de las almas ". Por la mañana del Día de todos los santos, a la plática de la primera misa, el "rector" (limpiado) designaba en púlpito a ocho hombres de la parroquia encargados de desempeñar el papel de anaoun. Una colecta(búsqueda) a domicilio fue hecha durante la jornada por sus cuidados.

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MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">La noche venida, después de los tres Nocturnos de los muertos, cuatro de ellos volvían a la iglesia para tocar el tañido fúnebre que no dejaba más de zumbar(tocar). Los cuatro otros, con campanillas, daban la vuelta al pueblo. Se paraban delante de todas las casas y, preferentemente, delante de las donde habían habido unos muertos durante el año. Su melopea temblorosa se elevaba entonces por la noche:

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MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">Amen... Este lúgubre procesión se acababa sólo al alba.

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MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">La costumbre de las buscas(colectas), al Día de los muertos, además no es especial en Bretaña. La encontramos(recobramos) en Italia, dónde el pueblo, en la voz del tañido fúnebre, cree que él oye(entiende) la misma voz de los difuntos:

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">

 

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">

 

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">¡ Padre, madre, Fratre, sorelle, a Apportate a mediados Qualche cosa! 

MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">

 

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MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt">¡ Mi padre, mi madre, Mi hermano, mi hermana, Apórteme Algo! 

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De hecho, hay aquel día, en las iglesias, tal abundancia de dones y de ofrendas que el interior se parece más bien de allí a una plaza que a un lugar de oración. Todos estos obsequios(presentes) son en especie; el clero los(las) revende a subasta y el dinero(plata) sirve para pagar misas para las almas del Purgatorio.

 

En ciertas comarcas, el sentimiento popular que hace participar los difuntos durante un día del año, al alimento de las vivientes, condujo a de curiosas practicas. En Brujas, por ejemplo, amasábamos en otro tiempo en cada cuidado del hogar, el Día de los muertos, tortas especiales nombradas pankoeken, que hacíamos bendecir a la iglesia, luego que repartíamos entre todos los miembros de la comunidad. Cada torta devotamente bosquejada(mascada) rescataba(ganaba el perdón) una alma.

 

Por una desviación singular del uso, lo fabricamos en ciertos restaurantes y cabarets populares, donde los muertos de hambre de la localidad, encantados de la ganga, se cogían sin interrupción durante cada día del 2 de noviembre y, mediante una pequeña remuneración y algunas jarras de cerveza suplementarias, se encargaban de engullir tantas tortas fúnebres que queríamos les ofrecérselo. Habíamos adquirido la convicción que el pankoeken podía ser comido por cualquiera y que, con tal que el mangeât con la intención de un difunto bien determinado, el acto conservaba toda su eficacia...